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  Les cinq types de femmes à rencontrer

Les cinq types de femmes à rencontrer

Par Matt Schneiderman
 
 

En tant que célibataire à New York, j’ai rencontré toutes sortes de femmes différentes. De la femme d’affaires sérieuse, à l’hôtesse de l’air inconstante, en passant par l’étudiante surdiplômée ou à la styliste bohème, je suis sorti avec chacune d’entre elles. Avec certaines, ça a duré des années, avec d’autres seulement quelques semaines. Et bien que je m’interroge constamment pour savoir quel genre de femme me convient le mieux, je dois reconnaître que mes meilleures rencontres ont été avec des femmes qui, je l’aurais juré, n’étaient pas du tout mon type. Je me suis beaucoup amusé, je dois le reconnaitre, mais cette diversité m’a surtout appris à me connaître, particulièrement dans mes rapports amoureux. Voici quelques uns des différents types de femmes que j’ai été heureux de rencontrer.

La “fifille” à son papa

Vous vous dites que rencontrer la petite princesse chérie de son papa n’est pas votre tasse de thé ? Et bien, écoutez ça : Maria, une étudiante de 25 ans que j’avais rencontrée sur le net, m’a choqué le jour de notre premier rendez-vous, quand elle m’a annoncé qu’elle vivait encore chez ses parents. Et comme ça ne suffisait pas, elle travaillait aussi dans le cabinet d’avocats de son père. J’ai très vite compris, qu’elle était très proche de celui qui lui payait son loyer, ses vêtements, ses taxis…et tout le reste. Au bout de quelques semaines, Maria décida de me présenter à ses parents. Comme je m’y attendais, son père était une sorte de Robert De Niro en puissance : bourru en m’ouvrant la porte, mais beaucoup plus chaleureux quand j’offrais une bouteille de vin et un bouquet de Lilas à sa femme. Pendant que Maria aidait sa mère à préparer le repas, je discutais avec son père tout en essayant de l’impressionner. Mission réussie, puisqu’en partant ce soir là, il m’invita à revenir “quand je le voulais”. Tandis que notre relation évoluait, je passais de plus en plus de temps avec Maria et …sa famille. Très vite, je commençais à apprécier les week-ends à la plage dans la demeure familiale et les petits plats « maison ». Plus fort encore, j’en vins même à considérer son père un peu comme le mien et à le consulter sur mes choix de carrière et de vie. Quand nous nous sommes séparés, j’ai même culpabilisé à l’idée qu’il puisse être déçu devant mon échec à prendre soin de sa fille. Cependant, je savais qu’il lui serait une aide précieuse pour la consoler de notre rupture.

La leçon que j’en ai tirée : quand on sort avec une fille qui est très proche de son papa, cela signifie qu’on va en être proche aussi. J’étais fier de prendre le pas sur le père de Maria et d’avoir gagné la confiance de sa « petite fille ». Mais après la séparation, j’ai réalisé que j’avais été trop empressé à faire partie d’une famille et pas assez impliqué dans ma relation avec Maria. Quand à elle, c’était surtout l’approbation paternelle qu’elle recherchait plutôt que la mienne. Finalement j’ai compris que je devais apprendre à être un bon petit ami, plutôt qu’un bon fils, excepté pour mes propres parents bien sûr.

La mère de substitution

J’ai toujours été très proche de ma mère qui m’a toujours encouragé et conseillé. Lucie, la petite amie que j’avais au lycée, était attentionnée, aimante, responsable et …me faisait beaucoup penser à ma maman. Notre amitié évolua en une relation plus sérieuse, et je profitais des attentions constantes de Lucie pour me décharger de mon stress en faisant appel à elle pour tout et n’importe quoi. Quand j’étais patraque, elle m’apportait un thé au citron et au miel. Quand j’avais besoin de faire une course, elle me conduisait ou me laissait sa voiture. Quand quelque chose me contrariait, comme par exemple le job d’été à l’étranger que je n’avais pas obtenu, elle était toujours là pour compatir et me remonter le moral. On aurait dit que la seule chose qui comptait pour elle dans notre relation, c’était mon bonheur. Exactement comme maman.

La leçon que j’en ai tirée : j’étais à l’aise avec Lucie, j’étais moi même. On aimait passer du temps ensembles à discuter, réviser ou regarder la TV. Elle était une source d’apaisement pour moi, mais à aucun moment nous n’avons connu de passion l’un pour l’autre. J’ai rompu en utilisant un horrible cliché, qui malheureusement était de mise : « je t’aime, mais je ne suis pas amoureux de toi ». Exactement comme maman.

L’artiste fauchée

Ce soir là, je n’avais pas pu m’empêcher de séduire Nadia, la magnifique serveuse d’un bar chic où je prenais un verre avec des copains. A notre premier rendez vous, j’appris que son boulot était juste un job alimentaire, mais que ses vraies passions, c’était la peinture et la sculpture, principalement sur verre. Sortir avec une artiste, c'est-à-dire quelqu’un qui consacrait tout son temps libre et son énergie à créer, me rendait humble et m’inspirait. J’ai toujours pensé que je pouvais écrire une nouvelle ou même un roman. Peut être même que j’allais être pour elle, le catalyseur qui ferrait découvrir son art, tout comme l’écrivain Gertrude Stein l’avait été pour Pablo Picasso…le sexe en plus ! Mes horizons s’élargissaient aussi, tandis que j’organisais des sorties culturelles pour Nadia et me lançais dans une fièvre acheteuse de billets d’entrée pour les musées et les concerts. Elle n’a jamais proposé de participer aux frais, mais ça ne me gênait pas, car j’associais “artiste fauchée” avec “artiste mourant de faim“. Et puis payer pour elle, faisait de moi un mécène, même si je n’ai jamais réellement compris la subtilité de son art, qui pour moi, était surtout un assemblage de boyaux. Malheureusement, Nadia était beaucoup plus dévouée à son art qu’à moi, et le peut de temps libre qu’elle avait, elle le passait dans son studio. Je devais m’estimer heureux quand nous pouvions passer quelques heures ensembles chaque semaine.

La leçon que j’en ai tirée : La passion est quelque chose de sexy et peu de femmes sont aussi passionnées que les artistes. Et même si je n’étais pas toujours l’objet de cette passion, puisque c’est moi qui l’ai séduite, relancée et ai tout organisé, elle était pleinement impliquée dans notre histoire quand nous étions ensembles y compris sexuellement. Voir l’étincelle artistique dans son regard, était une véritable source d’inspiration. Mais arriver en deuxième position dans les priorités de l’autre, même si l’unique rival était l’art, ce n’était pas ma tasse de thé. Je voulais que la passion de Nadia soit entièrement focalisée sur moi. J’ai appris à mes dépends que la passion ne se commande pas.

La femme plus agée

“Je te verrais bien avec Michelle,” me dit un jour Katie mon entremetteuse d’amie. “En plus, elle a quelques années de plus que toi” ajouta-t’elle en pensant que ça me serait égal. Pourtant quand je rencontrais Michelle, j’étais quand même déconcerté. Avec ses 40 ans, ça lui faisait quand même 12 ans de plus que moi. Et ces 12 ans faisaient une grosse différence dans bien des domaines! J’avais des nièces, elle avait une enfant de 4 ans. Je vivais en collocation, elle possédait sa propre maison. Ma plus longue relation sentimentale avait duré quatre ans, son mariage…bon ok, au moins sur ce point on avait le même vécu. Mais dès le début de notre rendez vous, Michelle dissipa toutes mes craintes concernant les mères célibataires épuisées et stressées à longueur de temps. Elle était drôle, perspicace et réussissait tout ce qu’elle entreprenait. Elle avait même fondé un magazine que je connaissais bien. Comment un type de 28 ans, pouvait prétendre à un tel accomplissement? Quand on se rencontrait, on parlait de voyages, de nos boulots respectifs, de nos amis communs et de toutes ces choses dont on parle quand on apprend à se découvrir. Bien sûr elle parlait de sa fille, mais l’enfant ne semblait pas pour autant la priver de vie sociale. Au contraire, on se donnait rendez-vous pour dîner, aller au cinéma, boire un verre, aller à des spectacles tard le soir. On pouvait se voir n’importe où dés l’instant qu’elle avait le temps de trouver une baby sitter.

Ce que cette relation m’a appris: Avant de rencontrer Michelle, je tournais autour de filles de mon âge ou même plus jeunes, comme la plupart des hommes. Michelle m’a fait découvrir qu’une femme mûre a plusieurs avantages, comparée à ses rivales plus jeunes. Elle a notamment suffisamment confiance en elle, pour ne pas se sentir en compétition avec les autres femmes. Michelle avait accompli beaucoup de choses entre ses 25-35 ans, et elle dégageait un mélange de raffinement et d’assurance qui ne manquait pas de lui valoir de nombreux regards quand on sortait. Elle m’a communiqué un peu de sa sagesse et de sa perspicacité, et les quelques années qui nous séparaient, n’ont pas été un frein à notre amusement. Même si notre alchimie n’a pas dépassé les rencontres occasionnelles, on a gardé contact, et sa vitalité et son indépendance m’impressionnent toujours autant. Ce sont deux des qualités que je recherche chaque fois que je sors avec quelqu’un.

La nana qui fait “tapisserie”

On dit que les opposés s’attirent, non ? C’est en tout cas ce que je pensais quand j’invitais l’une après l’autre des enquiquineuses à la vie sociale bien remplie. J’espérais ainsi, que leur côté fêtard finirait par déteindre sur moi et par me rendre plus drôle du même coup. Puis, j’ai rencontré Elizabeth. Tout comme moi elle était sérieuse, passionnée de lecture et maladivement timide en soirée. Rien d’étonnant donc qu’on se soit rencontré sur le Net, c’est l’outil idéal pour les casaniers. En général, on adorait passer nos week-ends à discuter autour d’une bière dans un bar ou à jouer aux cartes dans mon appartement. De temps en temps, j’étais heureux de l’emmener à une soirée ou à une fiesta quelconque, où nous finissions immanquablement par discuter entre nous dans un coin.

Ce que j’en ai tiré : Dés le début d’une relation, j’ai tendance à toujours vouloir divertir l’autre, l’entraînant dans des concerts, des soirées événementielles, des fiestas, des afters…et tout ça dans l’espoir de paraître spontané, cool et dans le vent. La maladresse sociale d’Elizabeth, était un véritable soulagement, car je n’avais pas besoin de lui prouver à quel point j’étais à l’aise en société pour l’impressionner. Comme elle n’aimait pas trop sortir et encore moins aller à des soirées, je commençais à apprécier les soirées calmes à la maison avec quelqu’un qui aimait jouer aux cartes. On s’est séparé peu de temps après ma rencontre avec Nadia, (l’artiste fauchée), alors peut être bien que j’ai besoin d’une personne un peu plus excitante, mais j’ai appris que sortir avec quelqu’un ne devait pas se résumer à faire la fête. Il y a des plaisirs plus tranquilles qui méritent qu’on s’y attarde aussi.

La fille plus intelligente que soi

Je suis fier de mes connaissances linguistiques. Je suis aussi un mauvais perdant. Dans ces conditions, comment pouvais-je garder mon sang froid chaque fois que Laura me battait au scrabble avec des mots de neuf lettres, dont j’étais obligé de chercher la signification dans le dictionnaire? Nous avions tous deux suivi le même cursus en littérature Anglaise, mais, elle avait obtenu sa maîtrise avant de poursuivre un doctorat à New York. Nos rendez vous n’avaient rien de commun avec ceux que j’avais l’habitude d’avoir. Au lieu d’aller voir un film, nos sujets de discussion, tournaient autour de la structure narrative dans l’oeuvre de Faulkner ou des difficultés inhérentes à une démocratie représentative. Pourtant j’ai toujours eu l’impression qu’elle ne livrait pas toute sa science, de peur que je sois dépassé.

La leçon que j’en ai tiré :

Comme je m’étais conditionné à ne pas paraître trop intelligent au premier, deuxième et même troisième rendez vous, je projetais probablement mon propre embarras sur Laura. Elle n’avait aucun scrupule à être plus intelligente et scolarisée que moi. Quand je disais quelque chose de sensé, j’aimais qu’elle me comprenne, mais j’adorais aussi quand mes propos étaient incongrus et qu’elle essayait malgré tout de se mettre à mon niveau. Et même si je n’ai jamais eu envie de lire Milton, j’apprécie toujours qu’elle puisse parler de sa poésie d’une telle façon, que même moi je comprends. Même si on a décide d’être désormais “seulement des amis”, je continue à la voir juste pour échanger des conversations enrichissantes, que désormais je m’attends à avoir dés le premier rendez-vous.

Pour conclure, si aucun de ces types de femmes n’est finalement devenu la femme de ma vie, je suis reconnaissant de les avoir rencontrées et d’avoir pu apprendre tant de choses auprès d’elles… en attendant de trouver la bonne.

 
 
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11/02/2009
LRF Saïda - Régionale Une: El-Bordj centre d'intérêt


En déplacement à El-Bordj, le leader du groupe, le CC Sig, n'aura pas la partie facile lors de cette dix-septième journée du championnat. Logés à la troisième place, les Bordjis ambitionnent de réduire à cinq points leur écart par rapport aux Sigois dans le but de garder intactes leurs chances d'accession. Mais le CCS se trouve sur une série de quatre matches sans défaite et ne veut surtout pas se faire piéger. De toute façon, en cas d'échec du leader, c'est le MB Hassasnas, second avec 33 points, qui pourrait être le principal bénéficiaire de cette journée, à condition qu'il négocie victorieusement son voyage à Aïn Kermès face WABAK. Les deux autres clubs à l'affût, à savoir l'ARB Ghriss et le CRB Froha, seront en appel en dehors de leurs bases, face respectivement au NC Maoussa et l'IRB Moctaâ Douz. Dans la partie basse du tableau, la lanterne rouge, le MC El-Bayadh, reçoit l'avant-dernier, le CRB Tizi, dans un match ouvert à tous les pronostics. Cependant, le Mouloudia d'El-Bayadh n'a pas droit à l'erreur s'il veut conserver l'espoir du maintien. Les trois autres rencontres au programme de ce round, à savoir GCBM-IRBOT, OM-CRCT et ESBD-FCBF, s'annoncent a priori à l'avantage des équipes locales, mais attention à l'excès de confiance.
 
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